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David humez, à 52 ans il réinvente sa carrière grâce au CQP instructeur fitness de jobifit

Il n’y a pas d’âge pour devenir coach sportif ! Si à 20 ans, David avait déjà envie de faire de sa passion pour le sport un métier, c’est à 52 ans qu’il saute le pas grâce au CQP Instructeur Fitness de Jobifit en format “week-end”. Passer de l’armée de l’air au coaching sportif c’est s’accorder un nouveau départ, enrichi par son expérience de la vie… 

Quel pratiquant de fitness étiez-vous avant d’entreprendre le CQP Instructeur Fitness ?

En tant que judoka, je fais depuis longtemps de la musculation dans le cadre de ma préparation physique. Et cette pratique, au départ complémentaire à mon activité sportive, est devenue une passion au fil des années.

Comment avez-vous eu le déclic ?

David Humez : “Il y a 30 ans, j‘avais le projet de devenir moniteur de sport dans l’armée de l’air avec comme discipline de prédilection, le judo. Une blessure a mis mon projet entre parenthèses et j’ai été réorienté vers la logistique opérationnelle, métier que j’exerce encore aujourd’hui. Pendant des années, l’idée a continué de me trotter dans la tête et puis je suis arrivé à un stade de ma carrière où j’avais besoin de changement. Quand j’ai vu sur Instagram une publicité qui parlait de Jobifit et de son CQP Instructeur Fitness, je me suis dit que cette fois c’était le bon moment. J’ai écrit, j’ai pris rendez-vous et j’ai passé la sélection en juillet 2023 option Musculation/Personal Training. Le fait qu’on puisse suivre ce diplôme en format week-end a été la condition sine qua non pour que je me lance. J’ai pu conserver mon activité professionnelle tout en me formant. Six mois intenses !

Qu’est-ce qui vous plait dans le métier de coach sportif ?

La notion de partage. La formation m’a permis d’apprendre de nouveaux exercices, de nouvelles façons de faire, et cette nouvelle approche de la musculation, je l’applique désormais à moi-même en tant que pratiquant.

Comment s’est passé le stage ?

Le stage s’est bien passé. On m’a laissé beaucoup de responsabilités, ce qui est très formateur.

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

J’ai toujours mon activité militaire. Dès l’instant où j’aurai mon diplôme et ma carte professionnelle je lancerai mon entreprise de personal training. Une fois que l’activité sera pérennisée, je quitterai l’armée.

Qu’avez-vous pensé de la formation ?

J’ai aimé le principe de la formation en alternance et j’ai trouvé la partie e-learning très ludique et surtout très riche avec des matières comme l’anatomie, la physiologie, la nutrition qui apportent beaucoup d’informations. Les intervenants sont de grands professionnels et c’est très enrichissant d’apprendre auprès d’eux. Aujourd’hui, je m’entraine différemment et j’encadre aussi mes équipes différemment. J’ai particulièrement apprécié la façon d’être et de faire de Brian Pascanet et Caroline Demets.

Avez-vous une anecdote à nous raconter ?

Un dimanche matin, nous avions une session de cours programmée dans un club. Il y a eu un problème d’organisation, l’agent d’accueil n’avait pas les clefs et nous sommes restés bloqués devant la porte du club, tout comme les adhérents, en attendant que l’équipe trouve une solution. Nous avons donc improvisé le training à l’extérieur avec une petite enceinte. Ça a mis une bonne ambiance qui a détendu tous les gens qui attendaient devant la porte !

Quels conseils donneriez-vous à une personne qui se lance dans un CQP Instructeur Fitness ?

Il faut être motivé et passionné. Concilier activité professionnelle la semaine, stage, e-learning et formation le week-end demande beaucoup d’investissement. J’ai la chance d’avoir un équilibre familial solide qui m’a poussé à aller au bout de mon projet.

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